Cette bande dessinée est un carnet de rencontres créé par une allochtone et ancienne étudiante de Concordia afin de reconnaître sa propre responsabilité et de donner une voix à de nombreux collaborateurs des Premières Nations, Inuits et Métis.

Ensemble, les deux auteurs – un intellectuel militant de la Nation Secwepemc et un homme d’affaires de la Nation Syilx (Okanagan) – proposent de nouvelles idées et posent un regard neuf sur la plus importante question non réglée du Canada : la place des Autochtones dans l’espace politique et économique du pays. Ils présentent un plan pour une nouvelle économie autochtone durable ainsi qu’une feuille de route pour y arriver.

Ce livre fait état de la correspondance entre la poète innue bien connue Natasha Kanapé Fontaine et le romancier québéco-américain Deni Ellis Béchard. D’abord publié en 2016, ce livre a été revu en 2021. La plus récente édition comprend des lettres écrites pendant la période ayant suivi le meurtre de George Floyd et la mobilisation du mouvement Black Lives Matter, mais aussi après le décès de Joyce Echaquan sous les injures racistes à l’hôpital de Joliette.

(ouvrage en anglais) Chef héréditaire et formateur chevronné en matière de relations avec les Autochtones, Bob Joseph vous donne des conseils pour mieux respecter les différences culturelles et améliorer vos relations personnelles et professionnelles avec les Autochtones. Il décrit les obstacles que les communautés autochtones doivent surmonter et fait éclater les principaux mythes et stéréotypes véhiculés depuis la Confédération.

(ouvrage en anglais) Être un colonisateur signifie comprendre qu’il existe un lien très étroit entre le Canada et la violence du colonialisme qui façonne encore aujourd’hui la vie politique, économique et culturelle. Cela signifie également accepter notre devoir de lutter pour le changement. Ce livre propose des façons de décoloniser les relations afin de trouver de nouvelles façons d’occuper les terres ensemble.

(ouvrage en anglais) Dans ce livre, l’autrice propose comme argument principal que les allochtones canadiens doivent entreprendre leur propre processus de décolonisation afin de saisir pleinement les possibilités transformatrices de la réconciliation. Les colonisateurs doivent se défaire du mythe persistant selon lequel ils sont les artisans de la paix au pays et reconnaître l’héritage destructeur d’une société qui s’est entêtée à ignorer et à dénigrer l’expérience autochtone.